Brundibár

Mercredi 6 et jeudi 7 mai 2015 ont eu lieu dans l’auditorium du conservatoire Maurice Ravel, deux représentations de l’opéra pour enfants Brundibár de Hans Krása, créé au camp de Terezin en 1943, sur un livret de Adolf Hoffmeister.

Quatre élèves des CHAM Paris 13 participaient à ce magnifique projet réunissant chanteurs et musiciens du conservatoire Maurice Ravel dirigés par Béatrice Warcollier  : Giulia, qui tenait le rôle d’Aninka, l’un des deux rôles principaux de l’oeuvre, et qui a été extraordinaire, Eïtan, formidable en crémier, ainsi qu’Iris et Laura qui faisaient partie du choeur, tout comme Grégoire, élève de la chorale de Claude Monet.

L’émotion fut au rendez-vous et je félicite tous les participants pour le travail accompli, de très grande qualité.

Brundibar - Giulia

Giulia

Brundibar -Eïtan

Eïtan

Brundibar - Iris

Iris

– La Berceuse :

– Le choeur final :

Bravo à tous !

Marie Le Manh

Quand Bach rime avec Pâques

Bach par Anahi

 Portrait de Bach par Anahi

En cette semaine où nous avons célébré le 330e anniversaire de Jean-Sébastien Bach, les sixièmes et les cinquièmes CHAM se sont réunis pour enregistrer le choral In meines Hertzens Grunde, extrait de la Passion selon Saint Jean, accompagnés par Lucas au violoncelle. Ils n’ont eu qu’un peu plus d’une semaine pour le travailler, donc bravo à eux pour le résultat ! Et je suis très impressionnée aussi par leurs talents de dessinateurs.

Bach par Max

 Portrait de Bach par Max

Bach par giulia

Portrait de Bach par Giulia

Bach par ?

Portrait de Bach par Jasmine

A tous, je vous souhaite un très beau week-end de Pâques.

Più non si trovano

Mozart par Anahi

Lorsqu’il était à Vienne, en 1787–1788, Mozart fréquentait très régulièrement les soirées du baron Jacquin, célèbre botaniste et chimiste, qui aimait recevoir le mercredi les cercles scientifiques, artistiques et intellectuels de la capitale. C’est pour ces soirées que Mozart écrivit entre autres le Nocturne Più non si trovano, dont voici un enregistrement à deux voix réalisé par les sixièmes CHAM :

– La version de Giulia et Irina :

Bravo à tous, et merci à Anahi pour sa très belle illustration.

Les Larmes

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Les Larmes fait partie des Six Mélodies composées en 1888 par Tchaikovsky sur des textes en français, et dédiées à la cantatrice française Désirée Artôt, que Tchaikovsky a failli épouser dans sa jeunesse.

En voici la version interprétée par Lucie D., Laura, Tilaï et Iris :

Et celle chantée par l’ensemble des cinquièmes CHAM :

Bravo à tous !